De ma main le sable coule sans fin.
Si je ferme les doigts, il s'échappe par toutes mes failles
La main dans l'eau, il s'englouti par les vagues
Et quand je ferme les yeux, la marée monte...
Pssit...
si vous en avez assez de lire mes montagnes russes entre le malaise et l'insouciance, dites vous qu'au moins vous ne les vivez pas en direct et en continu, avec un virage à 180° en moyenne aux demies heures.
Et plaignez Kitty qui se tappe tout le boulot de gérer une insomniaque hyperactive et épuisée au questionnement existentiel déboulant comme une tonne de brique pile poil à une heure du mat. Je navigue entre l'épuisement complet (7 heure du matin), la phase du non hypoglycémique (une demie heure après chaque repas puis sporadique jusqu'au prochain), l'envie de vomir (chronique, deux minutes après avoir avalé la première bouchée de quoique ce soit), l'hyperactivité chantée à tue-tête (on devrait dire tue-oreilles) et sautée partout sur du Pat Benatar ou autre 80's rock classic (10 heures du soir, 9 heures si on est vraiment chanceux), le grognement d'inconfort y'a rien à y faire en continu (juste après), les questions sur l'avenir de mon nombril parceque de toute façon je ne m'endors pas (1h du mat), les cauchemards de caisse enregistreuse qui ne veut pas fermer (dès que mes questions existensielles ont suffisament inquiété Kitty et que mon cerveau, rassuré par le fait que quelqu'un d'autre va resté éveillé toute la nuit à leur chercher réponses, conscent à s'endormir). Et on recommence, encore et encore et encore et encore.
C'est la joie dans ma demeure. Et je tourne en rond comme un lion en cage à manger les murs et à marcher au plafond.
(Quesse tu fais avec tes skis dans le bain ???)
Si je ferme les doigts, il s'échappe par toutes mes failles
La main dans l'eau, il s'englouti par les vagues
Et quand je ferme les yeux, la marée monte...
Pssit...
si vous en avez assez de lire mes montagnes russes entre le malaise et l'insouciance, dites vous qu'au moins vous ne les vivez pas en direct et en continu, avec un virage à 180° en moyenne aux demies heures.
Et plaignez Kitty qui se tappe tout le boulot de gérer une insomniaque hyperactive et épuisée au questionnement existentiel déboulant comme une tonne de brique pile poil à une heure du mat. Je navigue entre l'épuisement complet (7 heure du matin), la phase du non hypoglycémique (une demie heure après chaque repas puis sporadique jusqu'au prochain), l'envie de vomir (chronique, deux minutes après avoir avalé la première bouchée de quoique ce soit), l'hyperactivité chantée à tue-tête (on devrait dire tue-oreilles) et sautée partout sur du Pat Benatar ou autre 80's rock classic (10 heures du soir, 9 heures si on est vraiment chanceux), le grognement d'inconfort y'a rien à y faire en continu (juste après), les questions sur l'avenir de mon nombril parceque de toute façon je ne m'endors pas (1h du mat), les cauchemards de caisse enregistreuse qui ne veut pas fermer (dès que mes questions existensielles ont suffisament inquiété Kitty et que mon cerveau, rassuré par le fait que quelqu'un d'autre va resté éveillé toute la nuit à leur chercher réponses, conscent à s'endormir). Et on recommence, encore et encore et encore et encore.
C'est la joie dans ma demeure. Et je tourne en rond comme un lion en cage à manger les murs et à marcher au plafond.
(Quesse tu fais avec tes skis dans le bain ???)
2 commentaires:
dans le bain ? du ski nautique, surement ;-)
(ou du ski alpin sur tes montagnes russes émotionnelles, que j'espère passagères)
Tirui -> je vais bien finir par descendre de mes skis!! C'est une passade habituelle dans mon cas, après chaque voyage en avion (à expliquer la raison du pourquoi dans un prochain poste-à-plaintes)
En attendant, j'essaie au moins de faire un petit post débile entre chaque tirade gémissante, question de conserver mon public ^-^
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