01 juillet 2007

Atchoum!

Dans la poussière jusqu'aux yeux.
C'est fou ce que c'est sociable ces petites bêtes là, ça se rassemble dans les recoins où ils ont le moins de chance de se faire déranger est ça s'entasse l'un sur l'autre comme si l'aspirateur ne passait pas demain - ce qui est bien souvent le cas je dois dire, l'aspirateur est loin de passer aux deux jours deux semaines.

C'est portes et fenêtres grandes ouvertes qu'on s'est lancé dans le ménage de printemps. Oui, on est en retard. C'est parce qu'on profite du vrai printemps pour redécouvrir la nature, le lac, les sentiers boisés et que ça laisse bien peu de temps pour le ménage. Après, un fois qu'on est un peu blasé de la nature réveillée comme il faut, il faut encore attendre d'avoir une fin de semaine de libre où il ne pleut pas à nous saper le moral et où le soleil radieux n'attire pas de visite chez le voisin, visite qui m'énerve à profiter de mon jardin et me force du coup à passer la fin de semaine assise sur mon steak à bouder.

Alternativement, on peut aussi attendre d'avoir de la visite annoncée pour lundi matin. Une nouvelle copine de travail arrivant de Montréal qui vient en repérage pour trouver maison à ses petons pour septembre prochain et qui ne manquera probablement pas de visiter la nôtre pour se faire une idée de ce qu'il y a sur le marché.

Si vous n'avez rien compris de ce que je raconte, ne vous en faites pas. Je dois avoir de la poussière dans le nez qui bloque les rouages de mon cerveau. Ou bien c'est la baisse de glycémie conséquente de n'avoir rien mangé de décent depuis 48 heures - j'ai déjà nettoyé la cuisine, personne n'a le droit d'y remettre le bordel même si c'est dans le but louable de me faire manger quelque chose de plus élaboré qu'une pomme verte, un bout de concombre et des nachos pour le souper.

J'ai quand même un paquet d'abricot cueillis cet après-midi qui attendent de passer dans le dessert. Si quelqu'un a une recette à suggérer, je suis toute ouïe.

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