ou comment la présence d'une catalogne ne compense pas l'absence de Kitty.
Il est parti jeudi dernier, l'autre moitié de mon couple moderne, non sans avoir pris soin de vérifier mes capacité d'allumage de feu de foyer question que je ne laisse pas son chien mourir de froid cette semaine. Pauvre petite chose que je suis, il m'a forcée à manier la lourde hache pour couper du petit bois, à érafler ma peau fragile pour transporter les lourdes bûches et à noircir mes main d'albâtre pour nettoyer le foyer et préparer le feu - pendant que lui se gardait la tâche gratifiante (comme dans le contraire d'ingrate) de repasser ses chemises.
Comme la valeureuse petite guerrière que je suis, j'ai appliqué les leçons de Obi-Kitty jeudi soir, et j'ai pu faire rôtir mes orteils entre deux conversations MSN qu'il fait trop froid dans le bureau et que je veux un portable moi bon, et laisser le chien dans la maison pour qu'il puisse ne pas s'intéresser au feu plus de deux secondes.
Puis j'ai combattue la pire bataille qui soit: le froid polaire qu'il fait dans mon lit, même sous la catalogne et l'édredon, même enroulée dedans comme un saucisson. J'ai dû me rendre aux évidences: ce lit est fait pour deux. Il faut absolument pouvoir se coller l'un contre l'autre, mon nez dans le creux de son cou, ses fesses collées contre mon ventre et mes pieds coincés entre ses mollets. Mieux encore, il faut lui laisser le soin de se coucher le premier pour mettre en marche sa fournaise personnelle et réchauffer les drap de mon côté du lit.
Sans lui, je dors mal, et pas que parce que je grelotte toute la nuit.
Alors la nuit dernière et toutes celles qui viendront, je compte bien recourir aux moyens mécaniques pour me tenir au chaud. Je dors sur le divan, sans catalogne ni édredon. Je dors sur le divan à 1 pied et demi de mon feu. Mais j'ai personne pour me coller, j'ai personne pour m'embrasser, j'ai personne pour me réveiller le matin en faisant son café.
Chéri, reviens, je suis tannée de dormir sur le sofa!!
*Copyright: Zébulon
P.S. Prendre note qu'en Hongrie, ce samedi était un lundi et lundi sera un samedi pour faire le pont avec le congé de mardi. Donc, pas de post pour le long week-end, mais je ne suis pas re-disparue pour autant!
Il est parti jeudi dernier, l'autre moitié de mon couple moderne, non sans avoir pris soin de vérifier mes capacité d'allumage de feu de foyer question que je ne laisse pas son chien mourir de froid cette semaine. Pauvre petite chose que je suis, il m'a forcée à manier la lourde hache pour couper du petit bois, à érafler ma peau fragile pour transporter les lourdes bûches et à noircir mes main d'albâtre pour nettoyer le foyer et préparer le feu - pendant que lui se gardait la tâche gratifiante (comme dans le contraire d'ingrate) de repasser ses chemises.
Comme la valeureuse petite guerrière que je suis, j'ai appliqué les leçons de Obi-Kitty jeudi soir, et j'ai pu faire rôtir mes orteils entre deux conversations MSN qu'il fait trop froid dans le bureau et que je veux un portable moi bon, et laisser le chien dans la maison pour qu'il puisse ne pas s'intéresser au feu plus de deux secondes.
Puis j'ai combattue la pire bataille qui soit: le froid polaire qu'il fait dans mon lit, même sous la catalogne et l'édredon, même enroulée dedans comme un saucisson. J'ai dû me rendre aux évidences: ce lit est fait pour deux. Il faut absolument pouvoir se coller l'un contre l'autre, mon nez dans le creux de son cou, ses fesses collées contre mon ventre et mes pieds coincés entre ses mollets. Mieux encore, il faut lui laisser le soin de se coucher le premier pour mettre en marche sa fournaise personnelle et réchauffer les drap de mon côté du lit.
Sans lui, je dors mal, et pas que parce que je grelotte toute la nuit.
Alors la nuit dernière et toutes celles qui viendront, je compte bien recourir aux moyens mécaniques pour me tenir au chaud. Je dors sur le divan, sans catalogne ni édredon. Je dors sur le divan à 1 pied et demi de mon feu. Mais j'ai personne pour me coller, j'ai personne pour m'embrasser, j'ai personne pour me réveiller le matin en faisant son café.
Chéri, reviens, je suis tannée de dormir sur le sofa!!
*Copyright: Zébulon
P.S. Prendre note qu'en Hongrie, ce samedi était un lundi et lundi sera un samedi pour faire le pont avec le congé de mardi. Donc, pas de post pour le long week-end, mais je ne suis pas re-disparue pour autant!
3 commentaires:
Coucou Petitspetons gelés!!! Courage, il reviendra... (?)
Pour le froid, pas de mystere, ça va pas s'arranger dans les mois qui viennent!!!!
Content de te (re)lire!!!!
xoxoxoxo
ne va pas tomber dans le feu quand même !
(et dormir avec le chien pour avoir chaud ? ok c'est une idée stupide) :-D
hahaha
coucou ca faisait un moment que je n'etais pas passée par chez toi.. c'est en voyant que tu passais toujours me voir ma hongroise que je l'ai realisé ^^
pense à des choses denses ca va te rechauffer :p
bisou
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